Hier encore, j’avais la face dans le Kodak à Nico Stinghe, on traversait la soirée à photographier un groupe de jeunes pseudo-bohèmes pour arriver à l’image qui va faire d’eux des immortels. Pas qu’avec nos pattes ont va faire d’eux des musiciens. Ça, ils l’ont fait par eux-même. Mais quand les pixels et les flash arrivent à se marier devant nous, c’est des petits morceaux de vie qui s’arrête, des petites morts figées dans le temps.
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