Ces temps-ci, ça roule carré. De vieilles histoires pas l’fun qui remontent à la surface sur lesquelles j’ai rien à rajouter. En gros ça pourrait se résumer en une fable de Lafontaine à propos d’une grenouille qui voulait se faire plus grosse qu’un boeuf qui peuplait son monde fantaisiste. Un gros boeuf enflammé.
J’ai la chance d’avoir un comptable extraordinaire qui a prit – entre 2 gros chèques bien mérités – les rênes en main et qui a offert un mur devant mon créancier gouvernemental. Moi, par habitude viscérale, je suis du genre à prendre la fuite devant eux. Tu le sais, si t’as été associé avec moi dans quelconque aventure. Je produis les rapports en retard parce que j’ai pas de bidoux, mais surtout parce que j’ai peur de me faire chicaner. Est-ce que je t’ai déjà parlé de mon éducation autoritaire et de l’incapacité de faire face aux symboles d’autorité que ça aura engendré? Faut je travaille là-dessus. Sur ça, et d’arrêter de blâmer autre que moi-même.
–
Le bonhomme en haut , il sort du feu et il s’en fait corps et âme. C’est comme ça que je me sens aujourd’hui. En feu.
2 commentaires sur “Panique”
15 octobre, 2010 à 11:02
une chance qu’il pleut aujourd’hui!!
15 octobre, 2010 à 11:25
Mais j’aime être en feu !