Tu fais des mains, pis là tu accueilles quelqu’un dans ton atelier, disons quelqu’un avec une bonne poigne. Pis le quelqu’un, c’est un toucheur. Mais comme les mains ne sont pas encore cuites, tu t’imagines, elles s’écraseront comme rien entre les doigts du visiteur enthousiaste. Au moins, il te reste une photo et surtout, un beau moment pour exercer ta patience.
Un commentaire sur “Des mains, enfin, le souvenir de.”
10 novembre, 2010 à 3:41
tu dois être rendue bonne, mère térésa