En cherchant des pinceaux via Illustrator™, une pointe de stylet qui me permette de dessiner digitalement (ouin je suis en retard face à mes contemporains), je suis arrivé à faire ceci, contre mes attentes. Ça fait quelques années que je corrige des images ou que je colorise des dessins via la tablette Wacom™, mais mon coup de crayon ne se transpose pas encore sur l’écran.
Que neni ! Illustrator™ va compléter le travail de précision pour moi. Il corrige mon geste, manipule mon intention en m’offrant de jolies courbes, propose des coloris et initie même des propos. Qui remorque qui ? Dois-je changer de pseudo ? Quel cauchemar. Ce logiciel travaille depuis is longtemps avec moi qu’il a décidé de se mettre à m’essayer comme générateur de contenu. Il a une voix à lui depuis hier. Il a envie de me mobiliser. Je n’ai plus toute ma tête. Seulement cette envie irrésistible d’empoigner le stylet.
Attends, en plus il fait dans la calligraphie. Te montrerai plus tard. Stop.